Pour améliorer le plus possible le bien-être de la population au cours des prochaines décennies, les têtes dirigeantes devraient fonder leurs grandes décisions non pas sur de simples impératifs économiques, mais d’abord et avant tout sur des facteurs immatériels. Voilà la conclusion d’une étude dans laquelle des chercheurs ont prédit les niveaux de bonheur attendus en 2050, à partir de sondages sur le bien-être réalisés dans le monde au cours des dix dernières années.
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